Une exposition en place, que j’ai quittée samedi après une journée heureuse et chaleureuse.

Perchées au dessus de la librairie, entre ces vieux murs chargés d’histoire, je sais mes peintures accueillies dans la bienveillance. J’aime les imaginer poursuivre leur vie et ce bout de chemin loin de l’atelier, à la rencontre d’autres regards, d’autres questionnements, d’autres émotions.

Dans la série des Jardins de poche, “Dessus-dessous, l’eau d’en bas”.