Celui-ci en était un.
Mais il y en a d’autres.
Comme aujourd’hui, des jours blancs,
des jours noyés de brume,
où le soleil n’aura même pas à s’éclipser,
puisque déjà il est mangé.
Des jours de pluie et de silence,
dedans, dehors.
Dans l’atelier pas de musique,
la vie entre parenthèses.
Ouvrir grand les fenêtres et s’apercevoir qu’au delà
les oiseaux ne se taisent pas,
pas plus que les poules, les agneaux, les milans.
Ils volent, braillent, piaillent,
en tous sens,
ils vivent.
Alors vivre.
L’architecture fascinante de ces maisons, j’aime imaginer qu’elles hébergent les longues et fines héroïnes de vos cartes.
Le temps, par la course des fenêtres de feu sur le plan incliné de la table.
L’émouvante humanité de la paire de lunettes.
La vie dehors. La vie dedans aussi finalement…
Un beau partage dont vous avez le secret.
Au plaisir.
De petites cartes gardées précieusement et posées ici ou là pour que le regard glisse avec bonheur sur ces instants de féérie douce et vaporeuse dans une petite demeure de montagne où le brouillard tombé des cimes signe une absence du jour…parfois vivre se réinvente dans ces moments de simples contemplations où l’esprit voyage dans un autre ciel, sur d’autres nuages vers d’autres étoiles…
Merci pour la poésie de vos créations…