Je les aime folles,
vivantes,
comme ces minuscules bestioles qu’elles abritent.
Je les regarde,
elles m’accompagnent au quotidien,
ici, quand je les foule,
les caresse,
là, quand je les dessine.

Je m’en empare,
elles m’éloignent et me protègent de la folie des hommes.