de colère ou de feu,
il y a de quoi.
On trimballe ça, à l’intérieur,
on le retient,
et puis comme un volcan
parfois
un épanchement de braise liquide.
Rouges de feu doux aussi,
qui couve, luit,
apaise et réchauffe dans la nuit.
Rouge à voir,
à boire,
à rêver,
(peinture de Martin Jarrie)
à goûter.
Rouge de fer,
magenta hortensia.
Rouges.
De passage, c’est grand comme une vie, c’est petit. Gouache et crayon sur papier, 20 cm de côté environ, une petite série de vanités marines sur lesquelles j’ai eu beaucoup de plaisir à travailler. Tomates et fleurs retourneront à la terre, comme Gramsci et les autres, mes chaussettes aussi!
J’aurais aimé vous écrire quelques chose de sensible et d’intelligent (si, si, c’est possible !), mais le commentaire de Goldberg me coupe l’herbe sous les pieds. Une autre fois, sans doute.
Tristan
Bonjour !
Du jaune au rouge ? Aventureux trajet !Gramsci se souviendra de vos tomates et de vos fleurs, c’est sûr.De vos chaussettes, c’est moins sûr (paix à son âme !).Mais votre « de passage”, qui ne pourrait pas le faire sien ?C’est grand comment ?C’est grand comme on le lit ?Merci !
Rouge,ma couleur préférée… celle de la vie,de la fougue et de l’audace….mais aussi celle de l’automne,la saison des cueillettes avant de glisser au chaud dans l’hiver.merci pour votre évocation