Peut-être pour le blues de la fin de l’été,
de la fraîcheur des soirs.

Peut-être pour se souvenir d’un ciel presque immaculé
au dessus d’une prairie de Lozère,
et d’un petit nuage perdu,
et que j’ai adopté,
juste avant qu’il ne s’évapore.

Peut-être parce que c’est beau,
un camaïeu.

Peut-être
parce que demain
ce sera rouge.